Friday, December 16, 2011

Une usine de biométhanisation pourrait être construite dans la zone aéroportuaire


SAINT-HUBERT. Afin de répondre aux impératifs de son plan directeur de gestion des matières résiduelles, adopté en juillet dernier, l’Agglomération de Longueuil envisage de construire un complexe environnemental, incluant une usine de biométhanisation, dans la zone aéroportuaire.

Bien que l’emplacement précis n’ait pas été révélé, les documents obtenus par Le Courrier du Sud avancent que deux des sites potentiels se trouvent dans la zone, qui est déjà aux prises avec une importante problématique liée au bruit des avions.

«L’emplacement définitif n’a pas encore été déterminé, c’est toujours à l’étude», a mentionné la porte-parole de la Ville de Longueuil, Alexandrine Coutu.

Rappelons que l’Agglomération avait approuvé un emprunt de 930 000$, en octobre 2010, afin de réaliser des études pour la construction d’une usine de biométhanisation et de compostage des matières organiques d’ici janvier 2014.

Deux conditions

Le conseil d’agglomération a récemment entériné le règlement CA-2011-173, qui modifie le schéma d’aménagement et de développement, de façon à y autoriser la fonction complémentaire Complexe environnemental de traitement des matières résiduelles dans une aire d’affectation, sous deux conditions : les activités principales du futur complexe doivent se faire à l’intérieur du bâtiment et aucun enfouissement n’est permis. 
 
 
Lire la suite : http://lecourrierdusud.canoe.ca/webapp/sitepages/content.asp?contentid=217065&id=840&classif=En+manchettes

Vos déchets dans le réservoir

(Sherbrooke) Transformer des déchets en énergie : voilà le tour de force qu'a réussi Enerkem. Présentement au 42e rang des 50 compagnies les plus innovatrices du monde selon le magazine Fast Company, l'entreprise pourrait bien gravir de nouveaux échelons au fil du temps et s'approcher ainsi des Apple, Twitter et Facebook de ce monde.

Enerkem se résume pour l'instant à trois projets. Le premier se trouve à Westbury, dans la MRC du Haut-Saint-François, en Estrie. Les deux autres, à Pontotoc, au Mississippi, et à Edmonton, en Alberta.
Au Mississipi, la compagnie souhaite produire de l'éthanol à partir de déchets municipaux solides. On y effectuera le traitement de pas moins de 190 000 tonnes de matières résiduelles domestiques par année. Environ 60 pour cent des déchets seront ainsi recyclés prochainement ou convertis en 40 millions de litres d'éthanol qui pourraient très bien se retrouver dans le réservoir de nos voitures.

Lire la suite : http://www.cyberpresse.ca/la-tribune/201111/30/01-4473082-vos-dechets-dans-le-reservoir.php

Le biogaz, une énergie renouvelable qui pourrait être bénéfique pour le Québec

Depuis la fin du XXe et le début XXIe siècle, le réchauffement climatique est devenu l’une des valeurs les plus prioritaires de notre monde. Les conséquences que celui-ci amène risquent énormément de modifier notre mode de vie si jamais nous ne réagissons pas rapidement. Plusieurs gouvernements tentent de favoriser le développement de nouvelles technologies afin de produire de l’énergie verte et renouvelable pour ces citoyens. Le biogaz, qui est une technologie assez ressente, fait partie des modes de production d’énergies les plus avantageuses pour une société. Cependant, le Québec est une province qui semble fermer les yeux sur cette technologie qui est pourtant simple à développer. 

Dans ce texte, trois arguments seront amenés afin de convaincre le gouvernement du Québec d’instaurer la production du biogaz. Ensuite, il sera question des avis de deux philosophes importants puis de certains contre-arguments qui sont en lien avec le sujet et qui seront, par la suite, réfutés. 

Tout d’abord, il serait nécessaire que la province de Québec développe la technologie du biogaz puisque celle-ci est très avantageuse pour l’environnement. En effet, le biogaz consiste à extraire les gaz (surtout le méthane) des déchets organiques produits par les animaux et les végétaux. La plupart du temps, cette méthode est utilisée dans les fermes puisque celles-ci sont justement très riches en matières organiques et contient l’espace nécessaire pour les mettre en réserve. La méthode est simple, on peu faire, par exemple, la fermentation des matières organiques déféquées par les animaux, puis on en extrait les gaz qui sont ensuite utilisés afin de produit l’énergie électrique nécessaire pour faire fonctionner la ferme en entier. 
 
Ce mode de transformation n’est aucunement néfaste pour l’environnement puisqu’il n’émet aucun gaz à effet de serre dans l’atmosphère. En effet, lorsque tout le carbone produit est absorbé par les végétaux dont est issu le biogaz, on ne constate aucune émission de CO2 et de méthane dans l’atmosphère, ce qui est en soi une très belle constatation. De plus, le méthane, qui s’échappe naturellement des matières organiques, est transformé en CO2. C’est très avantageux pour l’environnement puisque le méthane est un gaz 23 fois plus puissant que le CO2. Aussi, l’équipement utilisé dans la production du biogaz n’a aucun impact sur la biosphère, contrairement aux barrages hydroélectriques qui sont un vrai désastre pour la faune et la flore environnante surtout à cause des inondations créées par ceux-ci. Bref, le Québec devrait adopter le biogaz comme mode de production d’énergies électriques puisqu’il n’a très peu, voire même aucun impact sur l’environnement. 
 

Méthanisation des déchets ménagers : un projet à l'étude - Ligné

Alain Bourget, adjoint au Développement durable, a présenté, lors du conseil municipal du jeudi 24 novembre, un projet de méthanisation des déchets ménagers de la commune.

La commission Développement durable mène en effet une réflexion sur ce projet, que le Gaec des 3 Moulins avait envisagé en 2009 et abandonné pour manque de rentabilité.

Deux éléments nouveaux permettent de réétudier aujourd'hui le projet. Le premier est l'admission en grande quantité de déchets ménagers dégradables (fermentescibles), issus du tri sélectif et de déchets dits professionnels issus de la restauration collective. Le deuxième élément, c'est le projet de piscine dans la commune. Ce procédé peut générer jusqu'à 500 m³ de gaz méthane par tonne de déchets. En terme d'énergie, 1 m³ de gaz = 1 litre de fuel domestique. Le principe est simple : les déchets sont acheminés dans un digesteur, énorme cuve étanche, chauffée à 37 °C, sans oxygène. Cette fermentation dégage du méthane dirigé vers un cogénérateur, ou moteur, qui produit de l'électricité, revendue à EDF. Elle dégage aussi de l'eau chaude qui peut alimenter un réseau de chauffage.

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Méthanisation : 7 000 hectares d'épandage seraient libérés - Châteauneuf-du-Faou

Jeudi soir, la salle ar Sterenn était comble pour cette première réunion publique concernant le projet d'implantation d'une unité de méthanisation dans la zone industrielle de Kroas-Lesneven.Jeudi soir, près de 250 personnes ont assisté, salle ar Sterenn, à la première réunion publique concernant le projet d'implantation d'une unité de méthanisation dans la zone industrielle de Kroas-Lesneven, approuvé par les élus communautaires.

Francis Le Jeune, porteur du projet, et Isabelle Motte, présidente du groupe SPTI, investisseur sur le projet de Poher-Énergies, se sont appliqués à en faire une présentation claire, avec schémas projetés sur écran.

Les riverains s'expriment

L'intercom favorable à un projet de méthanisation - Honfleur

La communauté de communes du pays de Honfleur a accepté mercredi, sur le principe, de vendre un terrain intercommunal à la société Methaneo, spécialisée dans la transformation de fumier en biométhane.

Pourquoi ? Comment ?

La méthanisa-quoi ?

 La méthanisation, c'est tout simplement le processus naturel de transformation de déchets organiques (en l'occurrence, du fumier) en biogaz, après une fermentation à 37 degrés.

Ce dernier est alors revendu à ERDF et injecté dans le réseau de gaz de ville pour être utilisé par les particuliers comme les entreprises.
Yann Mercier et Nathalie Longeat, président et ingénieur projet de la société Méthanéo, ont présenté mercredi soir leur projet au conseil communautaire. 
Quid du projet honfleurais ?

L'usine de méthanisation de Méthanéo pourrait voir le jour à Honfleur fin 2013 et traiter 11 000 tonnes de fumier par an.

« L'avantage, c'est que ce nouveau concept d'énergies renouvelables ne sort pas du territoire, met en avant Yann Mercier, président de Méthanéo. Nous récupérerons les fumiers de chevaux et de vaches d'une vingtaine d'exploitants agricoles et d'éleveurs dans un rayon de 15 km. Puis nous les transformerons en méthane avant de leur rendre le « résidu », de l'engrais de bien meilleure qualité que le fumier initial et moins polluant que les engrais chimiques. »
On y gagne quoi ?

Déjà, c'est écologique :« 30 % de la consommation de gaz honfleuraise sera couverte par cette énergie renouvelable, assure Yann Mercier. Et tout cela sans utiliser d'énergie fossile, sans rejeter de gaz à effet de serre et avec zéro odeurs. »

Mais c'est aussi positif pour l'économie : « On prévoit la création de deux à cinq emplois directs et certainement quelques emplois indirects (transports, maintenance etc.) »

Méthanisation industrielle : une présentation sans tabou - Beaupréau









 La semaine dernière, Isabelle Motte, présidente de la société spécialisée Akaeno, et ses collaborateurs ont présenté, salle Jeanne-d'Arc, le projet de méthanisation industrielle (lire Ouest-France du 21 novembre) qu'ils espèrent installer dans le fond de la zone Anjou-Actiparc Centre-Mauges, sur une superficie d'environ 4 ha. Le lieu dit de la Tufferie sera rasé. 

Une cinquantaine de personnes assistaient à cette réunion publique où les interrogations environnementales (odeurs, camions, bactéries, risque d'explosion, rejets des eaux...) côtoyaient celles des projets d'investissements. Il faut dire que « les fournisseurs de biomasse peuvent entrer à hauteur de 30 % dans le capital avec pour clause d'engagement, un contrat sur 10 années minimum ». Rappelons que cette création concerne le traitement et la valorisation de 50 000 tonnes de biomasse par an pour réaliser 5 000 tonnes d'engrais minéraux, de l'énergie électrique et du gaz.

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Biogaz : du nouveau pour la filière française

Biogaz : du nouveau pour la filière françaiseDu gaz d’origine renouvelable va prochainement, et pour la première fois, être injecté dans les réseaux de distribution français. Ce nouveau dispositif attendu depuis plusieurs mois a été paru au journal officiel.
 

Du gaz d’origine renouvelable va prochainement, et pour la première fois, être injecté dans les réseaux de distribution français. Ce nouveau dispositif attendu depuis plusieurs mois a été paru au journal officiel.

Le biogaz, issu de déchets, prend son essor en France

La filière de la méthanisation, qui peut offrir des prix plus stables que le gaz naturel, s'organise à Troyes. 

C'est une ressource verte beaucoup moins médiatisée que le solaire ou l'éolien. Encore discrète, elle vient de recevoir un coup de pouce du gouvernement. La méthanisation consiste à produire du gaz -appelé biogaz- à partir de déchets organiques (végétaux, graisses et sucres alimentaires). Développée depuis des années en Allemagne, la filière dispose désormais des conditions pour décoller en France.
Dernière mesure, publiée au Journal officiel des 22 et 23 novembre, les producteurs de biogaz peuvent désormais injecter leurs mètres cubes dans le réseau de GrDF (gaz de ville) qui leur achète entre 45 et 125 euros par mégawattheure (MWh), en fonction de la taille de l'installation et de la nature des déchets valorisés.

Biomasse Au service du biogaz

L'Association Biomasse Suisse promeut le biogaz. Elle sera présente à Swiss'expo en janvier 2012.

A la suite d'Energie 2000 (1991-2000) et de Suisse Energie 2001-2010, la Confédération a mis en place son troisième programme en faveur des énergies renouvelables et de l'efficacité énergétique. Dans ce contexte, l'association Biomasse Suisse a été constituée en mars 2011 par la fusion du Biogas Forum et de BiomassEnergie, deux entités actives dans le domaine du biogaz depuis des années. Cette nouvelle association est l'organisme faîtier du biogaz en Suisse et dispose du soutien de la Confédération.

Lire la suite : http://193.247.189.70/agrihebdo/journal/artikel.cfm?id=66241

Vin et fromage alimentent le plan biogaz français

Le biogaz, une énergie renouvelable encore naissante en France
Holding Verte veut répondre à "une problématique territoriale"
Objectif de production d'électricité de 625 MW d'ici 2020
Une loi incitera les supermarchés à recycler leurs invendus


par Gus Trompiz et Muriel Boselli

PARIS, 14 décembre (Reuters) - Les fleurons de la gastronomie du Cher, vin de Sancerre et crottin de Chavignol, pourraient bientôt produire de l'électricité grâce au nouveau programme du gouvernement français en faveur du biogaz.

Holding Verte, société pionnière dans le domaine du biogaz, collectera pour la première fois des déchets organiques agricoles du département du Cher, tels que restes de pressurage des raisins ou fumier, dans un rayon de 30 kilomètres autour de sa future installation.

Les agriculteurs concernés ne seront pas rémunérés mais la société leur offrira du digestat, un résidu de la méthanisation (fermentation des matières organiques) qui aboutit à la formation de biogaz qui peut servir d'engrais.

"C'est un troc de fumier contre digestat", résume Frédéric Flipo, cofondateur de Holding Verte, lors d'une interview à Reuters, ajoutant qu'une tonne de déchets produit presqu'une tonne de digestat.

Lire la suite : http://www.investir.fr/infos-conseils-boursiers/actus-des-marches/infos-marches/vin-et-fromage-alimentent-le-plan-biogaz-francais-394332.php

Le Maroc confirme ses ambitions dans le biogaz

Le Maroc confirme ses ambitions dans le biogazLA ville de Fès est pionnière dans la gestion et le contrôle des déchets. Confié à la société américaine «Ecomed de gestion des déchets solides» depuis avril 2004, ce secteur promet une première en matière de développement durable. Ceci, grâce à l’installation d’une future usine de biogaz qui devrait en principe couvrir jusqu’à 30% des besoins en énergie électrique de la ville de Fès, et ce, dans 10 ans.

En attendant, les responsables de la décharge viennent tout juste d’implanter un générateur qui produira, via la récupération et le traitement du biogaz, un mégawatt de puissance électrique. «Les besoins de la décharge contrôlée sont estimés à 800 kilowatts. Nous étudions la possibilité d’injecter l’excédent d’environ 400 kilowatts dans le réseau électrique de la ville», indique le responsable d’Ecomed. Pour ce qui est de son marché à Fès, l’entreprise américaine assure la gestion déléguée de la décharge contrôlée dans le cadre d’un contrat de gestion déléguée de 10 ans avec le conseil communal. Le délégataire prévoit des investissements de l’ordre de 75 millions de DH. A ce jour, il a déjà déboursé 40 millions de DH dans les infrastructures et le matériel de pesage, d’enfouissement et de traitement. Située sur la route de Sidi Harazem, la décharge publique contrôlée de Fès s’étale sur une superficie de 110 ha et répond aux critères de «production propre» et de respect de l’environnement.

A 300 mètres de profondeur, il n’y a aucune nappe et le terrain est totalement imperméable. Il est composé d’une couche d’argile de plus de 30 mètres de profondeur évitant ainsi la pollution des eaux souterraines. Il n’y a pas de risque d’infiltration verticale des déchets liquides vers le sol. Le terrain est en outre loin des centres résidentiels et autres exploitations sensibles aux nuisances. Toutes les dispositions ont été prises pour préserver les composantes de l’environnement avec la mise en place de systèmes de drainage des lixiviats, et d’aménagement d’ouvrages de collecte et d’évacuation des eaux pluviales. Le premier réseau du système de collecte de biogaz a été posé à partir de 10 mètres de hauteur des déchets. Actuellement, une torchère fermée est placée en amont des conduites des lixiviats pour évacuer et brûler le biogaz qu’ils contiennent. En outre, la décharge comprend aussi une partie réservée à la conversion du biogaz émanant des déchets en énergie électrique propre qui servira pour l’éclairage public de la ville de Fès. L’énergie produite alimentera également la future station de traitement des lixiviats, dont la construction est annoncée pour bientôt et qui nécessitera pas moins de 8 millions de DH.

Wednesday, December 14, 2011

Himark signs $15-million biogas deal Edmonton-based firm will produce ethanol from manure in Kansas

Edmonton-based Himark BioGas, which designed and built its first bio-gas plant near Vegreville, has signed a deal worth $15 million with Western Plains Energy of Oakley, Kan.

The U.S. facility already produces ethanol from grain and corn. It will add Himark's patented Waste-to-Energy system to produce ethanol from manure from local feedlots, as well as food and human waste.

"This is our first licence, and the plant will be the largest on-farm biogas producer, representing 10 per cent of total U.S. production," said Evan Chrapko, the co-chief executive of Himark, formerly Highmark Renewables.

About half the $15 million is for a licence payment, with the rest for additional engineering and design that will be done by Himark to adapt the unit to the Kansas plant. The Himark digester at the Western Plains plant will initially have a capacity of 24 million litres per year.

Read more : http://www.edmontonjournal.com/business/Himark+signs+million+biogas+deal/5857583/story.html

Potawatomi biogas plant zoning gains early approval

Heat from a new biogas facility would be used to heat the Potawatomi Casino in Milwaukee's Menomonee Valley.
 
The Forest County Potawatomi Community’s planned new biogas facility near its Menomonee Valley casino gained unanimous approval from a city zoning committee on Tuesday.

The 2 megawatt plant would convert waste products from food production companies to gas and then burn the gas to produce electricity. Heat from the process will heat the casino, and the electricity from the plant will be sold to We Energies.
 

Friday, December 9, 2011

Portrait 2010 des matières résiduelles de l'agglomération montréalaise

MONTRÉAL, le 8 déc. 2011 /CNW Telbec/ - La Ville de Montréal rend public aujourd'hui le Portrait des matières résiduelles de l'agglomération montréalaise 2010. Le présent portrait regroupe les données de 2006 à 2010, autant pour les matières faisant l'objet de programmes de récupération que celles dirigées vers l'élimination. 

En moyenne, chaque Montréalais a généré 534 kg de matières résiduelles au cours de l'année 2010. Ceci correspond à une quantité totale de 1 008 552 tonnes de matières, dont 37 % ont été récupérées par le biais des différents programmes offerts par la Ville, ce qui représente une hausse de 13 % par rapport à 2006. 

Faits saillants du Portrait 2010
La hausse des matières récupérées est principalement due à la valorisation d'une quantité beaucoup plus importante de résidus de construction, rénovation et démolition résidentiels et des encombrants. Effectivement, les quantités valorisées sont en hausse de 87 % par rapport à 2006 et le taux de récupération est de 59 %. Ces résidus sont désormais envoyés dans un centre de récupération et de tri plutôt que directement à l'enfouissement. Il s'agit de l'un des principaux engagements pris par l'administration municipale dans le cadre de son Plan de gestion des matières résiduelles (www.ville.montreal.qc.ca/pdgmr). Les quantités de résidus domestiques dangereux collectées ont aussi augmenté depuis 2006; le taux de récupération est de 56 %. 

Bien que les quantités de matières recyclables collectées soient en hausse, le taux de récupération demeure stable, soit de 53 %. La distribution récente de quelque 250 000 bacs roulant pour le recyclage à travers la ville aura certes un impact positif sur le taux de récupération au cours des prochaines années. 

Par ailleurs, les quantités de matières organiques ramassées sont en hausse de 53 % par rapport à 2006. La Ville accentue ses efforts pour offrir la collecte des matières organiques à davantage de citoyens d'année en année, ce qui contribuera à augmenter le taux de récupération, qui était de 10 % en 2010.


Lire le rapport en format PDF : 

Wednesday, November 23, 2011

Waste to Energy Inquiry in Worcestershire

Waste to Energy Inquiry in Worcestershire23 November 2011

A public inquiry into the planned 200,000 tonne 'EnviRecover' waste to energy facility that will treat residual waste in Worcestershire is due to commence.

Worcestershire County Council approved plans for Mercia Waste Management's facility near Hartlebury in March. However, the site is on green belt land and was called in by the secretary of state for communities and local government, Eric Pickles to be the subject of a public inquiry.

According to the company its proposed plant is of an appropriate size to treat all the residual collected in Worcestershire and Herefordshire, and will generate around 15.5 MW of electricity.

The facility will also have the potential to supply heat to local businesses and the company said that the 40,000 tonnes of ash that it expects the plant to produce each year will be reprocessed for use as an aggregate.

For the purposes of the inquiry, the company has supplemented its original Environmental Statement with an assessment of the likely significant environmental effects of a heat off-take connection, as well as an update on potential effects of the scheme on Great Crested Newts.


Read more : http://www.waste-management-world.com/index/display/article-display/4835796478/articles/waste-management-world/waste-to-energy/2011/11/Waste_to_Energy_Inquiry_in_Worcestershire.html

A Biogas Friendly Bill

Since the Public Utility Regulatory Act was passed in 1978, power utilities have been required to pay an “avoided cost” rate to certain types of small power production, cogeneration facilities and other types of qualifying facilities. That rate is typically the cost of the cheapest type of energy the utility has in its portfolio—usually coal—and that’s a price with which small renewable energy providers cannot compete.

More than 20 years later, PURPA is doing something it was never intended for—limiting individual states’ ability to make their own decisions about incentivizing small distributed renewable energy. A new bill introduced in the Senate Energy & Natural Resources Committee, however, could change that.
PURPA Plus, which is intended to encourage distributed generation of renewable energy, would remove the avoided cost restriction and let states set their own prices, according to Patrick Serfass, executive director of the American Biogas Council. In many cases, PURPA makes small renewable energy generation unfeasible.

read more : http://biomassmagazine.com/articles/5999/a-biogas-friendly-bill/

Wednesday, September 28, 2011

Team biogas.se Takes Home Gold and Silver in 2011 STCC


After an exciting final weekend at Mantorp Park, Sweden’s “greenest” racing team, racing biogas fuelled vehicles, can call themselves Swedish Touring Car Championship (STCC) champions. The celebration was only dampened by the fact that Fredrik Ekblom missed the gold in the individual competition after a much-debated incident in the final heat.

“This win is proof of the project’s success,” said Kristoffersson as he lifted the heavy trophy, following an outstanding season of biomethane-powered performance at the top level of touring car motorsport. The project, involving E.ON, Volkswagen and Team biogas.se, commenced with the first race of the 2009 season.


Last year, Team biogas.se just missed the gold. This season, Fredrik Ekblom and Patrik Olsson stood on the podium throughout the season, demonstrating the consistent performances of the VW Motorsport Scirocco GT 24s. Ekblom finished second and third in the two final heats of the season, while Olsson finished fourth and fifth. Those finishes gave the points needed for Team biogas.se to overtake Volvo Polestar in the team rankings.

“It’s fantastic. This win is well-deserved for everyone in the team,” said Ekblom. “Every team member put in the time and energy that was needed to take us the whole way.”

Read more : http://www.ngvglobal.com/team-biogas-se-takes-home-gold-and-silver-in-2011-stcc-0928

British Gas and Bio Group in £5m power plant joint venture


A new £5m power plant in Stockport will heat homes using leftovers from the region's restaurants.
The scheme is a joint venture between British Gas and renewable energy developer Bio Group.
It will take food waste from local restaurants, takeaways, hotels and offices and process it to produce biomethane gas.

The plant will be on a former landfill site in Ashton Road and will be able to power up to 1,400 homes when it becomes operational next April, diverting 250,000 tonnes of food from landfill a year.

Some of that waste will come from British Gas offices in the region.
Steve Sharratt, chief executive of Cambridgeshire-based Bio Group, said: “This facility has been designed using our ground-breaking technology as the next stage of a national roll-out of anaerobic digestion plants.

“It will make a real make a real difference to the future use of renewable gas across Greater Manchester.”

Read more : 
http://menmedia.co.uk/manchestereveningnews/news/business/innovation/s/1457755_british-gas-and-bio-group-in-5m-power-plant-joint-venture

Focus on biogas plants


To meet the domestic fuel and bio-fertiliser needs, 3,680 biogas plants are planned to be set up in rural areas by June 2012, according to Pakistan Centre for Renewable Technologies. 

The Centre says that over 2,100 family-size biogas plants — against the target of 2,500 — have already been set up throughout the country.

The programme, supported by NGOs, farmers’ bodies and the rural support programme netwok, is being implemented by Pakistan Biogas Development Enterprise.

The construction of 30,000 biogas installations planned for next four years will be funded by the four provinces including Khyber Pakhtunkhwa with an investment of Rs2.7 billion. A sum of Rs244 million will be disbursed as investment rebate support to households.
Often animal waste is usually not used productively. In Landhi alone, a suburb of Karachi city, around 0.35 million cattle heads are kept in a three kilometre area that produces thousands of tons of waste but 80-90 per cent of it is thrown into the sea. A Canadian firm Highmark Renewables and the KESC jointly intend to set up a biogas plant at a cost of around $70 million which would produce 30 megawatts of electricity besides 400 tons of residue bio-fertiliser.

Read more : http://www.dawn.com/2011/09/26/agriculture-and-technology-focus-on-biogas-plants.html

Tuesday, September 27, 2011

Air Force And Navy Turn To Biofuels


This C-130 is just one of a growing  list of military aircraft that have successfully flown on a 50 percent blend of jet biofuel. Half of the fuel powering this plane at Dyess Air Force Base in Abilene, Texas, is made from a weedlike plant called camelina.The Pentagon's hunt for an alternative to petroleum has turned a lowly weed and animal fat into something indistinguishable from jet fuel, and now the military is trying to kick-start a new biofuel industry.

"To flip the line from Field of Dreams, if the Navy comes, they will build it," Navy Secretary Ray Mabus said in a recent speech.

The Air Force and the Navy have been busy testing their aircraft — everything from fighter jets to unmanned spy planes — on jet biofuel. Together with the Departments of Energy and Agriculture, the Navy has launched a project to invest up to half a billion dollars in biofuel refineries.
Mabus says he is committed to getting 50 percent of the Navy's fuel for aircraft and surface ships from renewable sources by 2020 because dependence on foreign oil makes the U.S. military vulnerable.

Read more:
http://www.npr.org/2011/09/26/140702387/air-force-and-navy-turn-to-bio-fuels

Waste to Energy Must Prove Itself to Take Off in U.S.

waste to energy must prove itself to succeed in united states
An aversion of debt investors to 'technology risks', combined with public reticence to provide capital or financial guarantees is holding up development of Waste to Energy projects in the U.S.

According to a recent report published by Renewable Waste Intelligence - Waste Conversion Technology: A Progress Report North America - this situation is exacerbated by the fact that most waste to energy projects have yet to achieve commercialisation.

However, in the report, John May, managing director at the invest¬ment bank Stern Brothers, explains that "the rating agencies have said to us that properly structured insurance can lead to a better rating on a piece of debt".

In terms of equity investment, as opposed to taking on debt, May goes on to add that while equity investors are prepared to take greater risks, the return they are looking for is typically in the region of 15% to 20%. 



Read more : http://www.waste-management-world.com/index/display/article-display/6371794524/articles/waste-management-world/waste-to-energy/2011/09/Waste_to_Energy_Must_Prove_Itself_to_Take_Off_in_U_S_.html

Waste to Energy Appeal Approved in Gloucestershire

SITA Severnside energy recovery facility planning permissionThe secretary of state has approved SITA UK's appeal to the Planning Inspectorate, against the refusal of planning permission for the Severnside Energy Recovery Centre (SERC).

The company submitted its original proposals for the waste to energy facility to South Gloucestershire Council in November 2009 and it was subsequently refused by the Council's Development Control West Committee in June 2010.

In November 2010, SITA UK submitted an appeal to the Planning Inspectorate.

According to the company, the proposed facility, located on a site approximately five miles north of Avonmouth, would be capable of diverting up to 400,000 tonnes of non-recycled commercial and industrial waste per year.

The facility is expected to generate up to 32 MW of electricity - enough to power approximately of 50,000 homes. SITA claim it would also help local businesses by relieving a multi-million pound landfill tax burden. 


Read more  : http://www.waste-management-world.com/index/display/article-display/0741157947/articles/waste-management-world/waste-to-energy/2011/09/Waste_to_Energy_Appeal_Approved_in_Gloucestershire.html

Tuesday, August 30, 2011

Wastecon 2011

Wastecon 2011: Old and New in WTE - ImageSeveral panelists at a session on waste-to-energy (WTE) at Wastecon 2011, the annual convention of SWANA (the Solid Waste Association of North America), had seen earlier version of waste-to-energy as a growing trend within the industry.

For the most part, the panelists were encouraged that solid waste districts could learn from earlier booms and create systems that are better able to serve their communities well for decades to come.

Paul Stoller of the Boston area’s Stoller Consulting said that a document prepared for the U.S. Environmental Protection Agency (EPA) in the 1970s remained a good road map for districts and consultants embarking on a WTE project today.

The EPA Resource Recovery Management Model, said Stoller, “provides a comprehensive description of all the activities necessary to complete a project.”

The “comprehensive” part may be intimidating, said Stoller, but it is important. “Many projects have been [derailed] because of shortcuts,” he remarked. The EPA document calls for putting the hardest steps, such as site selection, first, so a project’s feasibility can be determined upfront.


Read more : http://www.recyclingtoday.com/wastecon-coverage-2011-old-and-new-in-wte.aspx

Thursday, July 28, 2011

Biogas can turn costs to profits

Biogas can turn costs to profitsBREWERIES can successfully utilise the biogas from their wastewater treatment plant as an energy source in their operations, saving money as well as minimising waste, according to environmental solutions company Talbot & Talbot.

The company says that the biogas produced from the treatment of wastewater can contribute 10-15 per cent of a brewery's steam requirements, reducing the need to buy increasingly expensive alternative fuels while substituting it with 'green' energy.
Using biogas as a fuel for raising steam in a brewery can definitely be viable, resulting in the treatment plant changing from a cost centre into a profit centre. The value of this energy depends on the cost of the current fuel it replaces, whether coal, gas or electricity.

The author of this article recently presented his experiences and expertise at the IBD Convention (Industrial Brewer and Distilling). The technologies developed by Talbot & Talbot had been successfully applied to breweries over the size of 500,000 hectoliters/annum in Africa and abroad.

Wednesday, May 11, 2011

Bientôt six centrales à biogaz en Suisse

 
Energie | La construction d’une centrale à biogaz sur le site des Etablissements pénitentiaires de Bellechasse (EPB) a été lancée mercredi par des représentants de la société Belgaz SA, qui réunit l’Etat de Fribourg et Groupe E Greenwatt SA. 

La construction d’une centrale à biogaz sur le site des Etablissements pénitentiaires de Bellechasse (EPB) a été lancée mercredi par des représentants de la société Belgaz SA, qui réunit l’Etat de Fribourg (actionnaire à 65%) et Groupe E Greenwatt SA (actionnaire à 35%).

Cette installation, devisée à 3,8 millions de francs, devrait fournir 1,1 GWh d’électricité par an, soit l’équivalent de la consommation domestique annuelle (5000 kWh/an) de quelque 220 ménages. Elle produira également de la chaleur pour le réseau de chauffage du site.

Deuxième domaine agricole de Suisse
Deuxième plus grand domaine agricole de Suisse, les EPB veulent les 11’500 tonnes de lisiers et fumiers produits annuellement par leurs quelque 200 vaches, 100 génisses, 200 veaux, 800 porcs, 300 dindes, 300 poules, 300 moutons et 60 chevaux. Les déjections de ces animaux, ainsi que d’autres déchets organiques, serviront à produire du biogaz qui sera à son tour transformé en chaleur et en électricité.

Lire la suite :  http://www.24heures.ch/bientot-centrales-biogaz-suisse-2011-05-11

Friday, May 6, 2011

Evaluate your biogas potential

Evaluate your biogas potential : http://electrigaz.com/kefir/index.php

Une nouvelle unité de méthanisation en projet en Vendée

Méthanisation des effluents : IEL s'allie à ODIPURE

IEL, une société basée à Saint Brieuc et spécialisée dans les projets d'énergies renouvelables a annoncé son entrée au capital d'ODIPURE (22), dont le métier est l'étude, la conception, la réalisation, et la maintenance d'unités d'épuration et de méthanisation des effluents. 

Méthanisation des effluents : IEL s'allie à ODIPURE

 Cette synergie de compétences permettra à ces deux acteurs bretons d'unir leurs forces pour offrir une expertise dans le milieu industriel et agricole. Par cette prise de participation, IEL indique poursuivre sa croissance et concrétise son plan stratégique en se positionnant désormais dans l'offre de solutions de méthanisation.

Les 2 sociétés proposent dès à présent une offre clés en mains dans le secteur de la méthanisation et notamment un service opérationnel de maintenance aux clients agriculteurs, industriels et collectivités. De plus, un programme en cours de Recherche et Développement autour de la valorisation de la biomasse et du traitement de l'eau, va être accéléré et doit permettre prochainement de compléter le portefeuille d'activités.

Lire la suite : http://www.enerzine.com/12/11943+methanisation-des-effluents---iel-sallie-a-odipure+.html

Greenergy partnership to turn ‘unsaleable’ solid foods into biofuel

Greenergy partnership to turn ‘unsaleable’ solid foods into biofuel
A biofuel company and a specialist in waste cooking oil have partnered to extract oil from fatty foods, such as crisps, pies and pasties, which would otherwise be destined for landfill or compost.
 
Greenergy, which supplies one fifth of Britain’s road fuel, announced today that it was teaming up with Brocklesby Ltd, a company that recycles edible oils and food products. The deal will see high fat solid foods such as pies, sausage rolls, pastry and crisps, deemed unsaleable, converted into biofuel.

At the same time as creating a new alternative source of fuel, Greenergy, said the initiative will help reduce the environmental impact of the 10 billion litres of fuel it sells annually. The company produces petrol and diesel as well as biofuel for the UK market.

"We’ve always tried to find ways of reducing the environmental impact of our fuel and as oil prices continue to rise, it’s obviously important to develop alternative sources of fuel. We are pleased to be at the forefront of finding new feedstocks for biodiesel production," said Greenergy chief executive Andrew Owens. 
 
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3,000th project milestone for Clean Energy programme as UN hails renewable future

Celebrations greeted the registration this week of the 3,000th project under the Clean Development Mechanism (CDM), the world's premier system for developed countries to finance low carbon projects in developing countries.

The secretariat of the United Nations Framework Convention on Climate Change (UNFCCC) announced that the project is a wind power one on the breezy plains of Inner Mongolia, where nomads have harnessed wind power on a small scale for generations.

The CDM is part of the Kyoto Protocol, an addition to the Convention that contains legally binding measures to reduce greenhouse gas emissions.

The 41-turbine, 49.5MW project is expected to save the emission of 100,000 tonnes of carbon dioxide a year by avoiding the construction of a fossil-fuel powered plant.

Developed by the Inner Mongolia Alashan Yinxing Wind Power Generation Co., Ltd, the wind farm is financed by a British company, Shell Trading International, which buys and sells carbon credits, and was approved by DECC last year.

La bataille juridique contre Savoura se poursuit.

La saga opposant la Régie de gestion des... (Photo: François Gervais)













(Trois-Rivières) La Régie de gestion des matières résiduelles de la Mauricie n'a pas l'intention de se plier au jugement rendu la semaine dernière dans la cause qui l'oppose aux Serres du Saint-Laurent (Savoura). Elle va en appel de la décision rendue par le juge Édouard Martin.

La décision a été prise par le conseil d'administration de la Régie à la suite d'une consultation menée auprès de ses procureurs, explique le président de la Régie, Pierre Bouchard. «On remet en question le jugement», dit-il.

Selon lui, tous les membres de la Régie sont d'accord avec la décision. «J'ai besoin de l'accord de tout le monde quand je prend une décision comme celle-là», fait valoir M. Bouchard.

Le maire de Trois-Rivières, Yves Lévesque, qui avait fait une levée de boucliers contre les dépenses et les décisions de la Régie, la semaine dernière, dit avoir rencontré M. Bouchard hier matin.

Il explique que la Ville attend toujours l'analyse de l'avocat de la Régie afin de voir sur quels points on se base pour prendre la décision d'aller en appel. M. Lévesque devrait faire ses commentaires aujourd'hui sur cette question.

 Lire la suite :
Comme l'explique le greffier de la Régie, Me Stéphane Lemire, l'appel qui sera déposé par la Régie ne sera pas «de novo», c'est-à-dire un appel où seraient introduits de nouveaux témoins et de nouvelles preuves.

Biomethane-Powered Scirocco R-Cup Season Opens

Volkswagen’s one-brand motor racing season is underway again, with the first event of the 2011 Volkswagen Scirocco R-Cup having been completed at Hockenheim last weekend. Driving VW Scirocco GT24s powered with biomethane, young Polish driver Mateusz Lisowski won his first race in front of Daniel Lloyd from the UK, with third place going to  the 1993 DTM champion Nicola Larini.
Winner Lisowski flying under biomethane power
At the race that was marked by numerous duels Lisowski managed to overtake pole sitter Daniel Lloyd shortly after the start. Afterwards, the 20 year-old would not relinquish the lead again through to the finish. Maiken Rasmussen, who is supported by the FIA “Women & Motor Sport” programme for young talents finished in ninth place. Last year’s overall runner-up, Jann-Hendrik Ubben, was struck by misfortune as problems with the gearbox forced him to retire.

After congratulating Lisowski on contesting and winning his first Scirocco R-Cup race, Kris Nissen, Volkswagen Motorsport Director remarked, “The Scirocco R-Cup in its second season is again showing that it is a successful mix of great racing action, renowned legends and talented young drivers.”

Third place-getter Larini (Lido di Camaiore) said, “I’m surprised how well the bio natural gas principle is working out. This is a really great thing, which will hopefully be copied by others in future. The car handles in a very neutral way with just slight oversteer. The push-to-pass button is simply great. It should definitely be used in other racing series as well.”

The push-to-pass system, which makes for more thrilling races, was set at 15 uses, each lasting ten seconds. Between the uses a ten-second block is active.

The second race of the season will be run at the Spielberg Circuit in Austria, from June 3-5.

A new biogas cogeneration plant in Wisconsin will provide a landfill alternative to several materials recyclers traditionally have discarded.

Powerful Ending - ImageThe University of Wisconsin Oshkosh (UWO) is installing a biogas cogeneration plant that will divert a number of materials away from the landfill while also providing electrical power and heat to the campus.

A key technology provider for the new biogas system is Cenergy Power Systems Technologies Inc., Orange Park, Fla., which is owned in part by its management team and in part by Germany-based 2G Bio-Energietechnik AG.

Cenergy (www.2g-cenergy.com) describes the combined heat and power (CHP) system being installed as “the first dry fermentation anaerobic biodigester in the nation, which will convert yard and food waste into biogas.”

Michael J. Turwitt, the president and CEO of Cenergy, says the system at UWO and others like it will provide quick return-on-investment (ROI) for the corporations and institutions that install them, by providing energy internally without the monthly utility bill as well as by saving on waste hauling and disposal costs.
 

Read more : http://www.recyclingtoday.com/0411-powerful-ending.aspx

Monday, May 2, 2011

Safety Solutions Tailored to Biogas Plants

While the complexity of biogas plants tends to be underestimated, operators have sole responsibility for ensuring the safety and health of employees and the general public.
By Johannes Steiglechner and Volker Schulz | April 29, 2011
In late 2009, a study carried out by the Commission for Plant Safety of the German Federal Environment Ministry revealed critical defects in more than 60 percent of biogas facilities inspected. The study inspectors, which also included TÜV SÜD experts, detected weaknesses not only in the gas and ventilation systems, and regarding explosion protection, but also in component design, structural engineering and organizational measures.

This result confirms that stakeholders in practice still tend to underestimate the scope of required safety measures. Ensuring the safe operation of biogas facilities requires consideration of questions related to the gas, the electrical and the pressure systems. Other significant issues are related to fire safety and lightning protection, and to the layout and planning of escape routes and emergency response plans. Potential hazards to health and the environment also need to be limited.

Read more : http://biomassmagazine.com/articles/5489/safety-solutions-tailored-to-biogas-plants/

Icelandic Pigs to Power One Thousand Methane Cars

traffic-low_pkThe first power plant in Iceland which will use biological waste to produce methane is scheduled to open by the end of next year. The project is estimated to cost between ISK 350 and 400 million (USD 3.1-3.6 million, EUR 2.1-2.4 million).

The pork producer Stjörnugrís and energy company Metanorka are planning to sign a declaration of intent on using waste from Stjörnugrís’s pork farm at Melar in Melasveit, west Iceland, to produce methane which could power up to 1,000 vehicles, Fréttabladid reports.
 




Managing director of Stjörnugrís Geir Gunnar Geirsson believes the project is economical. “We will save foreign currency worth at least [ISK] 120 million per year.”

 

Le public et le privé s’arrachent nos sacs verts

L’industrie québécoise de la collecte des matières résiduelles traverse actuellement d’importants bouleversements. Les entreprises privées, comme RCI Environnement ou Waste Management, rivalisent désormais avec le secteur public pour accroître leurs parts de marché.







Des centaines de millions de dollars sont en jeu car la collecte des matières résiduelles génère des revenus de 1,3 G$ chaque année au Québec. Plusieurs compagnies privées consolident leurs activités en acquérant des concurrents. Elles veulent conserver leur position et empocher les lucratives recettes générées par la vente de matières recyclables, comme le carton ou le plastique.


La croissance du chiffre d’affaires des firmes privées a commencé à ralentir il y a quelques années lorsque le secteur public a accru sa présence dans la gestion des matières résiduelles.

Lire la suite : http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2011/04/20110429-180601.html

Le biogaz à la ferme : éléctricité et chauffage par méthanisation

4000 exploitations agricoles allemandes produisent aujourd'hui du biogaz avec leur fumier ou lisier. En France, nous en sommes seulement à 35 projets... et pourtant cette énergie renouvelable est fournie chaque jour par les excréments des animaux !

Pour bien comprendre de quoi il s'agit nous avons interrogé Pierre Besancon (35 ans), installé en Gaec avec sa femme et son jeune frère à Saint Berthevin en Mayenne.

Lire la suite : http://www.frequenceterre.com/chroniques-environnement-290411-2241-Le-biogaz-a-la-ferme-electricite-et-chauffage-par-methanisation.html

Wednesday, April 13, 2011

China to cut Nuclear & Increase Solar Power Goals after Japan Crisis

China hasn’t taken long to learn a lesson from the Japan nuclear crisis (perhaps). It is cutting its 2020 target for nuclear power and is filling in with increased solar power targets, according to an official from the National Development and Reform Commission (NDRC).


China recently passed up the U.S. as the world’s leading energy consumer. What it does on this front is critical to the long-term livability of our planet (for humans, at least). It is great to see that it is not only cutting back on nuclear expansion (which is a very risky option until someone learns how to deal with nuclear waste that lasts several times longer than humans have existed for), but that it is also increasing its solar power goals to account for this.

Reportedly, Shi Lishan, deputy director of the renewable energy department of the National Energy Administration (NEA), announced yesterday that China is “seriously considering increasing its five year target for the PV industry capacity from 5 gigawatts (GW) to 10 GW” as well.

The previous 2020 target for nuclear was 80 GW and for solar it was 20 GW. The proposed changes have not been announced yet.

But while its 2020 targets are supposed to be changing, that may not change China’s plans in the long term.

Is China Going to Cut its Nuclear Goals in the Long-Term?

While it is clear that China is slowing down its nuclear development process, some are saying that it is not actually going to change the long-term goals of the country when it comes to nuclear. The slow-down will be to ensure that new nuclear plants are “safer” but it won’t necessarily cut the country’s eventual target.

“NDRC Vice Chairman Xie Zhenhua said [on Wednesday] that China won’t alter its atomic energy plans, even as the Cabinet had stopped approving new nuclear plants, pending safety checks.”
Cao Peixi, chairman of Huaneng Power International Inc, said the same thing at a press briefing yesterday. Want China Times writes: “China’s biggest electricity producer won’t alter its nuclear plans because of Japan, Cao said.”

Is this temporary halting of nuclear development just a play for the public? Or will safety checks, a change of short term plans, and probable cost increases reduce nuclear development in China? We’ll see….


Source : http://cleantechnica.com/2011/04/01/china-to-cut-nuclear-increase-solar-power-goals-after-japan-crisis/

German firms to drive global biogas market close to $9 billion by 2017


A comprehensive new report on biogas plants published by Global Industry Analysts, Inc. concludes that the world’s desire to reduce dependency on fossil fuels, heightened attention to eco-friendliness, and government incentive programmes will continue to step up investment in biogas facilities, which are forecast to $8.98 billion by the year 2017.
  German firms to drive global biogas market close to $9 billion by 2017“Narrowing cost differentials between fossil fuels based electricity generation and biogas energy in recent years has further augmented interest in renewable resources,” says Global Industry Analysts. “Today, biogas competes on par with petroleum-based fuels in terms of performance, cost, and other additional benefits such as reduce greenhouse gas (GHG) emissions.”
In terms of both consumption and production of biogas, Europe – especially Germany, followed by the UK, Italy and Spain – is ahead of other regions mainly due to increased government regulation for environment friendly initiatives. Although Europe dominates biogas production, the trend is also catching up fast in countries like Japan, Australia, New Zealand and the US. The Asia-Pacific biogas plants market is displaying strong appetite for growth, thanks to the continuous infrastructure development and business expansion in the region, especially in the emerging markets such as China and India.

Read more :  http://www.renewableenergymagazine.com/energias/renovables/index/pag/biogas/colleft/colright/biogas/tip/articulo/pagid/15020/botid/76/