Tuesday, April 3, 2012

Biométhanisation: Greenwatt SA lève 6 millions d'euros

La société Greenwatt a annoncé avoir levé "6 millions d'euros pour accompagner sa croissance", via une augmentation de capital.

Créée en 2004 et issue du spin-off de l'Université catholique de Louvain (UCL), produit de l'énergie thermique et électrique "sur site, à base de déchets organiques". Il y a quelques mois, nous étions restés muets en recevant un communiqué où il était question de valorisation de biogaz issu des melons Philibon (centrale de biométhanisation à partir de déchets de melon à Moissac).WTF, on n'y comprenait rien, d'autant plus que, lisant: "le restant de l’énergie est revendu à ERDF, le principal fournisseur français d’énergie", on avait haussé les épaules et hoquetant "sic". 




CEC proposes to cut biomethane projects from RPS

The American Biogas Council is working to convince the California Energy Commission of the negative effects of a proposed moratorium on renewable portfolio standard (RPS) qualification for biomethane projects.

The CEC issued a notice of consideration March 16, and will hold a hearing on March 28 to discuss suspending the previously adopted guidelines.
Meanwhile, the ABC has been urging industry stakeholders to submit comments to the CEC regarding the proposal. Along with many of its members, the ABC sent a joint letter to the CEC pointing out the tragic consequences the moratorium would have on the developing biogas industry, and the missed economic benefits to the state.

Read more :  http://biomassmagazine.com/articles/6214/cec-proposes-to-cut-biomethane-projects-from-rps/

Successful Coca-Cola Enterprises trial highlights potential of biomethane to reduce greenhouse gas and air quality emissions

Successful-Coca-Cola-Enterprises-trial-highlights-potential-of-biomethane-to-reduce-greenhouse-gas-aCenex - the UK's first Centre of Excellence for low carbon vehicle technologies - has announced the results of a year long trial with Coca-Cola Enterprises (CCE), whereby a fleet vehicle was powered with biomethane to assess the potential to reduce greenhouse gas (GHG) emissions and fuel costs. Following a successful trial, CCE has invested in a fleet of 14 gas powered Iveco Stralis vehicles and a gas station which is due to be fully operational at the Enfield depot from June 2012.

Distributed Biomass Waste-to-Energy Technology for a Sustainable Future

The majority of electricity in the U.S. is produced at large, centralized coal, gas or nuclear power plants. Only Hawaii still maintains significant oil-fired power generation. For the past several years, however, federal and state rules, incentives, and energy portfolio standards have led to significant new power generation from sustainable sources of distributed energy, such as locally available biomass.

Distributed biomass power generation systems can range in size from less than 1 MW to 50 MW, depending on the amount of opportunistic, residual, or waste biomass fuel available. Oftentimes, landfill restrictions or higher costs stimulate interest in smaller biomass power systems. These opportunity biomass fuels and feedstocks can include forestry byproducts, used railroad ties, high-moisture animal waste, or liquid effluents generated in ethanol distilleries and food-processing plants. In utilizing these waste materials, not only can power be generated sustainably, but the amount of material that needs treatment or processing prior to landfilling is reduced, thereby reducing costs for producers.

Biogas from Food Waste Facility at Somerset Landfill

Viridor Biogas from Food Waste Facility at Somerset LandfillConstruction of waste management company, Viridor's £10 million food waste to biogas facility near Bridgwater in Somerset is underway.

The company, a part of the Pennon Group (LSE:PNN), said that the new anaerobic digestion plant is located on its Walpole landfill site and will be able to process up to 30,000 tonnes of food waste each year.

Phase One of the development will provide up to 21,000 tonnes per year of capacity to the Somerset Waste Partnership's food waste collections, with the remainder catering for South West commercial customers producing food and organic wastes. 



Lire la suite : http://www.waste-management-world.com/index/display/article-display/9123974123/articles/waste-management-world/biological-treatment/2012/04/Biogas_from_Food_Waste_Facility_at_Somerset_Landfill.html

Au Theil-Bocage, un agriculteur se lance dans la méthanisation

SAONE ET LOIRE : Méthanisation à la ferme, c’est possible !

Le 8 mars dernier, vingt-trois Bourguignons se sont retrouvés au lycée agricole de la Motte-Servolex (Savoie) pour une journée technique organisée par la chambre d’Agriculture de Bourgogne sur le thème de la méthanisation infiniment mélangée. Y participaient ainsi des agriculteurs de la Nièvre, de Côte-d’Or et de Saône-et-Loire, des techniciens chambre, des agents des collectivités territoriales de Saône-et-Loire, de la DDT 71 et des responsables de l’Ademe Bourgogne, signe que la méthanisation est de plus en plus envisagée dans le cadre de projets territoriaux.
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Au cours de cette journée, les agriculteurs ont visité l’unité de méthanisation du lycée agricole ainsi que son système de séchage solaire de fourrages et échanger avec le responsable de l’exploitation. Le méthaniseur a démarré en juillet 2011 et "digère" annuellement près de 2.400 tonnes de matière (fumier de bovin, lisier, drèches de pommes, issues de céréales, déchets d’industrie agro-alimentaire…). L’électricité produite par la combustion du biogaz est revendue en intégralité au réseau ERDF. La chaleur sert à chauffer le digesteur à une température avoisinant les 38°C ainsi que des serres horticoles, l’eau de la fromagerie, le laboratoire pour l’élevage d’escargots et les bureaux de l’exploitation du lycée.

Un travail astreignant

L’après-midi était consacré à la visite de l’unité de méthanisation de l’EARL Mercier à Esserts-Blay, à proximité d’Albertville. Cette unité, plus importante en volume, "digère" plus de 8.000 tonnes de matière et se différencie par sa technicité et sa technologie. En effet, il s’agit d’une cuve en acier inoxydable, n’ayant pas de post-digesteur. Les matières principales entrantes pour alimenter le digesteur sont le lisier et le fumier d’un troupeau de 250 vaches Abondance et Tarine ainsi que le lactosérum provenant de la fromagerie située à proximité. Les eaux brunes et blanches de la salle de traite sont également ajoutées à ce mélange.
Les deux exploitants reconnaissent que gérer un méthaniseur est aussi astreignant que de s’occuper d’un troupeau de bovins, c'est-à-dire que cela représente un travail quasi quotidien d’au moins 30 minutes.
Grâce à la participation financière de leurs partenaires (Ademe, conseil régional de Rhône-Alpes, conseil général de Savoie, etc.), ces éleveurs estiment un retour sur investissement entre 7 à 9 ans, la méthanisation étant un projet à long terme.
Rendez-vous pour une prochaine journée en Vendée courant mai prochain pour découvrir un autre procédé de méthanisation, la méthanisation par voie sèche.


Le biogaz enflamme le conseil municipal

Le ton est monté au conseil municipal, hier, mais aucune issue ne semble avoir été trouvée.
NEUVILLE-SAINT-AMAND - Lundi soir, lors d’une réunion extraordinaire, le conseil municipal a débattu du projet d’usine de biométhanisation.
L'affaire semble loin d'être finie. Après la création d'un collectif, quelques élus avaient réclamé une réunion extraordinaire du conseil municipal. L'objet : débattre de l'implantation d'une usine de biométhanisation par la société Soprocos (L'Oréal), à Gauchy.
La discussion a débuté par une lettre d'une des conseillères absente et opposée au projet. Une lettre qui a donné le ton, reprochant au maire de Neuville-Saint-Amand, Patrick Merlinat, de faire « passer ses séances de kiné […] avant les affaires de la commune ». Elle aurait ainsi souhaité que la réunion se tienne la semaine dernière pour pouvoir être présente… Petite pique avant de rentrer dans le vif du sujet : « J'estime que la population de Neuville est particulièrement contrariée et inquiète. »
Rappelant en préambule qu'il n'était pas le seul à ne pas être disponible la semaine précédente, Patrick Merlinat a donc demandé aux conseillers opposés au projet d'usine de s'expliquer.
« J'en tirerai les conséquences »

Lire la suite : http://www.aisnenouvelle.fr/article/autre-actu/le-biogaz-enflamme-le-conseil-municipal

À Montpellier, tout est bon pour le biogaz


  La semaine du développement durable a débuté le 1er avril. L'occasion pour L'Usine Nouvelle de revenir sur certains pans de cette filière. Le plus grand site français de méthanisation de déchets organiques installé à Montpellier doit servir de référence. Il va enfin pouvoir donner sa pleine mesure.
Méthanisation Montpellier Une légère brise rafraîchit le parc industriel Garosud, à Montpellier (Hérault). Après les querelles qui ont accompagné les premiers pas de l'usine de méthanisation Amétyst exploitée par Sita (groupe Suez), c'est avec une petite appréhension que l'on s'approche du site. La crainte d'être enveloppé par un parfum nauséabond ou d'affronter une nuée de mouches est vite écartée. Derrière les grilles, les salariés d'une entreprise voisine pique-niquent sur les pelouses. En 2002, Montpellier Agglomération a voté l'implantation de cette usine de retraitement des déchets ménagers organiques et de biodéchets. Six ans plus tard, les premiers camions l'approvisionnaient. Sita en a obtenu le contrat d'exploitation pour dix ans avec un statut de délégation de service public.
Amétyst est dotée d'une chaîne de valorisation des biodéchets d'une capacité annuelle de 33 000 tonnes. "Elle n'en traite pour l'instant que 8 000 tonnes, déclare Christophe Deligny, le directeur de la prévention et de la gestion des déchets à Montpellier Agglomération. Le Grenelle de l'environnement a imposé à compter du 1er janvier un tri des biodéchets. Les industries, la restauration, la grande distribution, les hôpitaux... Tout le monde sera concerné progressivement d'ici à 2016". Pour les ordures ménagères résiduelles (OMR), la capacité d'Amétyst est de 170 000 tonnes. "Nous en rentrons actuellement 120 000 tonnes", précise Christophe Deligny.

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