Friday, December 16, 2011

Une usine de biométhanisation pourrait être construite dans la zone aéroportuaire


SAINT-HUBERT. Afin de répondre aux impératifs de son plan directeur de gestion des matières résiduelles, adopté en juillet dernier, l’Agglomération de Longueuil envisage de construire un complexe environnemental, incluant une usine de biométhanisation, dans la zone aéroportuaire.

Bien que l’emplacement précis n’ait pas été révélé, les documents obtenus par Le Courrier du Sud avancent que deux des sites potentiels se trouvent dans la zone, qui est déjà aux prises avec une importante problématique liée au bruit des avions.

«L’emplacement définitif n’a pas encore été déterminé, c’est toujours à l’étude», a mentionné la porte-parole de la Ville de Longueuil, Alexandrine Coutu.

Rappelons que l’Agglomération avait approuvé un emprunt de 930 000$, en octobre 2010, afin de réaliser des études pour la construction d’une usine de biométhanisation et de compostage des matières organiques d’ici janvier 2014.

Deux conditions

Le conseil d’agglomération a récemment entériné le règlement CA-2011-173, qui modifie le schéma d’aménagement et de développement, de façon à y autoriser la fonction complémentaire Complexe environnemental de traitement des matières résiduelles dans une aire d’affectation, sous deux conditions : les activités principales du futur complexe doivent se faire à l’intérieur du bâtiment et aucun enfouissement n’est permis. 
 
 
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Vos déchets dans le réservoir

(Sherbrooke) Transformer des déchets en énergie : voilà le tour de force qu'a réussi Enerkem. Présentement au 42e rang des 50 compagnies les plus innovatrices du monde selon le magazine Fast Company, l'entreprise pourrait bien gravir de nouveaux échelons au fil du temps et s'approcher ainsi des Apple, Twitter et Facebook de ce monde.

Enerkem se résume pour l'instant à trois projets. Le premier se trouve à Westbury, dans la MRC du Haut-Saint-François, en Estrie. Les deux autres, à Pontotoc, au Mississippi, et à Edmonton, en Alberta.
Au Mississipi, la compagnie souhaite produire de l'éthanol à partir de déchets municipaux solides. On y effectuera le traitement de pas moins de 190 000 tonnes de matières résiduelles domestiques par année. Environ 60 pour cent des déchets seront ainsi recyclés prochainement ou convertis en 40 millions de litres d'éthanol qui pourraient très bien se retrouver dans le réservoir de nos voitures.

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Le biogaz, une énergie renouvelable qui pourrait être bénéfique pour le Québec

Depuis la fin du XXe et le début XXIe siècle, le réchauffement climatique est devenu l’une des valeurs les plus prioritaires de notre monde. Les conséquences que celui-ci amène risquent énormément de modifier notre mode de vie si jamais nous ne réagissons pas rapidement. Plusieurs gouvernements tentent de favoriser le développement de nouvelles technologies afin de produire de l’énergie verte et renouvelable pour ces citoyens. Le biogaz, qui est une technologie assez ressente, fait partie des modes de production d’énergies les plus avantageuses pour une société. Cependant, le Québec est une province qui semble fermer les yeux sur cette technologie qui est pourtant simple à développer. 

Dans ce texte, trois arguments seront amenés afin de convaincre le gouvernement du Québec d’instaurer la production du biogaz. Ensuite, il sera question des avis de deux philosophes importants puis de certains contre-arguments qui sont en lien avec le sujet et qui seront, par la suite, réfutés. 

Tout d’abord, il serait nécessaire que la province de Québec développe la technologie du biogaz puisque celle-ci est très avantageuse pour l’environnement. En effet, le biogaz consiste à extraire les gaz (surtout le méthane) des déchets organiques produits par les animaux et les végétaux. La plupart du temps, cette méthode est utilisée dans les fermes puisque celles-ci sont justement très riches en matières organiques et contient l’espace nécessaire pour les mettre en réserve. La méthode est simple, on peu faire, par exemple, la fermentation des matières organiques déféquées par les animaux, puis on en extrait les gaz qui sont ensuite utilisés afin de produit l’énergie électrique nécessaire pour faire fonctionner la ferme en entier. 
 
Ce mode de transformation n’est aucunement néfaste pour l’environnement puisqu’il n’émet aucun gaz à effet de serre dans l’atmosphère. En effet, lorsque tout le carbone produit est absorbé par les végétaux dont est issu le biogaz, on ne constate aucune émission de CO2 et de méthane dans l’atmosphère, ce qui est en soi une très belle constatation. De plus, le méthane, qui s’échappe naturellement des matières organiques, est transformé en CO2. C’est très avantageux pour l’environnement puisque le méthane est un gaz 23 fois plus puissant que le CO2. Aussi, l’équipement utilisé dans la production du biogaz n’a aucun impact sur la biosphère, contrairement aux barrages hydroélectriques qui sont un vrai désastre pour la faune et la flore environnante surtout à cause des inondations créées par ceux-ci. Bref, le Québec devrait adopter le biogaz comme mode de production d’énergies électriques puisqu’il n’a très peu, voire même aucun impact sur l’environnement. 
 

Méthanisation des déchets ménagers : un projet à l'étude - Ligné

Alain Bourget, adjoint au Développement durable, a présenté, lors du conseil municipal du jeudi 24 novembre, un projet de méthanisation des déchets ménagers de la commune.

La commission Développement durable mène en effet une réflexion sur ce projet, que le Gaec des 3 Moulins avait envisagé en 2009 et abandonné pour manque de rentabilité.

Deux éléments nouveaux permettent de réétudier aujourd'hui le projet. Le premier est l'admission en grande quantité de déchets ménagers dégradables (fermentescibles), issus du tri sélectif et de déchets dits professionnels issus de la restauration collective. Le deuxième élément, c'est le projet de piscine dans la commune. Ce procédé peut générer jusqu'à 500 m³ de gaz méthane par tonne de déchets. En terme d'énergie, 1 m³ de gaz = 1 litre de fuel domestique. Le principe est simple : les déchets sont acheminés dans un digesteur, énorme cuve étanche, chauffée à 37 °C, sans oxygène. Cette fermentation dégage du méthane dirigé vers un cogénérateur, ou moteur, qui produit de l'électricité, revendue à EDF. Elle dégage aussi de l'eau chaude qui peut alimenter un réseau de chauffage.

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Méthanisation : 7 000 hectares d'épandage seraient libérés - Châteauneuf-du-Faou

Jeudi soir, la salle ar Sterenn était comble pour cette première réunion publique concernant le projet d'implantation d'une unité de méthanisation dans la zone industrielle de Kroas-Lesneven.Jeudi soir, près de 250 personnes ont assisté, salle ar Sterenn, à la première réunion publique concernant le projet d'implantation d'une unité de méthanisation dans la zone industrielle de Kroas-Lesneven, approuvé par les élus communautaires.

Francis Le Jeune, porteur du projet, et Isabelle Motte, présidente du groupe SPTI, investisseur sur le projet de Poher-Énergies, se sont appliqués à en faire une présentation claire, avec schémas projetés sur écran.

Les riverains s'expriment

L'intercom favorable à un projet de méthanisation - Honfleur

La communauté de communes du pays de Honfleur a accepté mercredi, sur le principe, de vendre un terrain intercommunal à la société Methaneo, spécialisée dans la transformation de fumier en biométhane.

Pourquoi ? Comment ?

La méthanisa-quoi ?

 La méthanisation, c'est tout simplement le processus naturel de transformation de déchets organiques (en l'occurrence, du fumier) en biogaz, après une fermentation à 37 degrés.

Ce dernier est alors revendu à ERDF et injecté dans le réseau de gaz de ville pour être utilisé par les particuliers comme les entreprises.
Yann Mercier et Nathalie Longeat, président et ingénieur projet de la société Méthanéo, ont présenté mercredi soir leur projet au conseil communautaire. 
Quid du projet honfleurais ?

L'usine de méthanisation de Méthanéo pourrait voir le jour à Honfleur fin 2013 et traiter 11 000 tonnes de fumier par an.

« L'avantage, c'est que ce nouveau concept d'énergies renouvelables ne sort pas du territoire, met en avant Yann Mercier, président de Méthanéo. Nous récupérerons les fumiers de chevaux et de vaches d'une vingtaine d'exploitants agricoles et d'éleveurs dans un rayon de 15 km. Puis nous les transformerons en méthane avant de leur rendre le « résidu », de l'engrais de bien meilleure qualité que le fumier initial et moins polluant que les engrais chimiques. »
On y gagne quoi ?

Déjà, c'est écologique :« 30 % de la consommation de gaz honfleuraise sera couverte par cette énergie renouvelable, assure Yann Mercier. Et tout cela sans utiliser d'énergie fossile, sans rejeter de gaz à effet de serre et avec zéro odeurs. »

Mais c'est aussi positif pour l'économie : « On prévoit la création de deux à cinq emplois directs et certainement quelques emplois indirects (transports, maintenance etc.) »

Méthanisation industrielle : une présentation sans tabou - Beaupréau









 La semaine dernière, Isabelle Motte, présidente de la société spécialisée Akaeno, et ses collaborateurs ont présenté, salle Jeanne-d'Arc, le projet de méthanisation industrielle (lire Ouest-France du 21 novembre) qu'ils espèrent installer dans le fond de la zone Anjou-Actiparc Centre-Mauges, sur une superficie d'environ 4 ha. Le lieu dit de la Tufferie sera rasé. 

Une cinquantaine de personnes assistaient à cette réunion publique où les interrogations environnementales (odeurs, camions, bactéries, risque d'explosion, rejets des eaux...) côtoyaient celles des projets d'investissements. Il faut dire que « les fournisseurs de biomasse peuvent entrer à hauteur de 30 % dans le capital avec pour clause d'engagement, un contrat sur 10 années minimum ». Rappelons que cette création concerne le traitement et la valorisation de 50 000 tonnes de biomasse par an pour réaliser 5 000 tonnes d'engrais minéraux, de l'énergie électrique et du gaz.

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Biogaz : du nouveau pour la filière française

Biogaz : du nouveau pour la filière françaiseDu gaz d’origine renouvelable va prochainement, et pour la première fois, être injecté dans les réseaux de distribution français. Ce nouveau dispositif attendu depuis plusieurs mois a été paru au journal officiel.
 

Du gaz d’origine renouvelable va prochainement, et pour la première fois, être injecté dans les réseaux de distribution français. Ce nouveau dispositif attendu depuis plusieurs mois a été paru au journal officiel.

Le biogaz, issu de déchets, prend son essor en France

La filière de la méthanisation, qui peut offrir des prix plus stables que le gaz naturel, s'organise à Troyes. 

C'est une ressource verte beaucoup moins médiatisée que le solaire ou l'éolien. Encore discrète, elle vient de recevoir un coup de pouce du gouvernement. La méthanisation consiste à produire du gaz -appelé biogaz- à partir de déchets organiques (végétaux, graisses et sucres alimentaires). Développée depuis des années en Allemagne, la filière dispose désormais des conditions pour décoller en France.
Dernière mesure, publiée au Journal officiel des 22 et 23 novembre, les producteurs de biogaz peuvent désormais injecter leurs mètres cubes dans le réseau de GrDF (gaz de ville) qui leur achète entre 45 et 125 euros par mégawattheure (MWh), en fonction de la taille de l'installation et de la nature des déchets valorisés.

Biomasse Au service du biogaz

L'Association Biomasse Suisse promeut le biogaz. Elle sera présente à Swiss'expo en janvier 2012.

A la suite d'Energie 2000 (1991-2000) et de Suisse Energie 2001-2010, la Confédération a mis en place son troisième programme en faveur des énergies renouvelables et de l'efficacité énergétique. Dans ce contexte, l'association Biomasse Suisse a été constituée en mars 2011 par la fusion du Biogas Forum et de BiomassEnergie, deux entités actives dans le domaine du biogaz depuis des années. Cette nouvelle association est l'organisme faîtier du biogaz en Suisse et dispose du soutien de la Confédération.

Lire la suite : http://193.247.189.70/agrihebdo/journal/artikel.cfm?id=66241

Vin et fromage alimentent le plan biogaz français

Le biogaz, une énergie renouvelable encore naissante en France
Holding Verte veut répondre à "une problématique territoriale"
Objectif de production d'électricité de 625 MW d'ici 2020
Une loi incitera les supermarchés à recycler leurs invendus


par Gus Trompiz et Muriel Boselli

PARIS, 14 décembre (Reuters) - Les fleurons de la gastronomie du Cher, vin de Sancerre et crottin de Chavignol, pourraient bientôt produire de l'électricité grâce au nouveau programme du gouvernement français en faveur du biogaz.

Holding Verte, société pionnière dans le domaine du biogaz, collectera pour la première fois des déchets organiques agricoles du département du Cher, tels que restes de pressurage des raisins ou fumier, dans un rayon de 30 kilomètres autour de sa future installation.

Les agriculteurs concernés ne seront pas rémunérés mais la société leur offrira du digestat, un résidu de la méthanisation (fermentation des matières organiques) qui aboutit à la formation de biogaz qui peut servir d'engrais.

"C'est un troc de fumier contre digestat", résume Frédéric Flipo, cofondateur de Holding Verte, lors d'une interview à Reuters, ajoutant qu'une tonne de déchets produit presqu'une tonne de digestat.

Lire la suite : http://www.investir.fr/infos-conseils-boursiers/actus-des-marches/infos-marches/vin-et-fromage-alimentent-le-plan-biogaz-francais-394332.php

Le Maroc confirme ses ambitions dans le biogaz

Le Maroc confirme ses ambitions dans le biogazLA ville de Fès est pionnière dans la gestion et le contrôle des déchets. Confié à la société américaine «Ecomed de gestion des déchets solides» depuis avril 2004, ce secteur promet une première en matière de développement durable. Ceci, grâce à l’installation d’une future usine de biogaz qui devrait en principe couvrir jusqu’à 30% des besoins en énergie électrique de la ville de Fès, et ce, dans 10 ans.

En attendant, les responsables de la décharge viennent tout juste d’implanter un générateur qui produira, via la récupération et le traitement du biogaz, un mégawatt de puissance électrique. «Les besoins de la décharge contrôlée sont estimés à 800 kilowatts. Nous étudions la possibilité d’injecter l’excédent d’environ 400 kilowatts dans le réseau électrique de la ville», indique le responsable d’Ecomed. Pour ce qui est de son marché à Fès, l’entreprise américaine assure la gestion déléguée de la décharge contrôlée dans le cadre d’un contrat de gestion déléguée de 10 ans avec le conseil communal. Le délégataire prévoit des investissements de l’ordre de 75 millions de DH. A ce jour, il a déjà déboursé 40 millions de DH dans les infrastructures et le matériel de pesage, d’enfouissement et de traitement. Située sur la route de Sidi Harazem, la décharge publique contrôlée de Fès s’étale sur une superficie de 110 ha et répond aux critères de «production propre» et de respect de l’environnement.

A 300 mètres de profondeur, il n’y a aucune nappe et le terrain est totalement imperméable. Il est composé d’une couche d’argile de plus de 30 mètres de profondeur évitant ainsi la pollution des eaux souterraines. Il n’y a pas de risque d’infiltration verticale des déchets liquides vers le sol. Le terrain est en outre loin des centres résidentiels et autres exploitations sensibles aux nuisances. Toutes les dispositions ont été prises pour préserver les composantes de l’environnement avec la mise en place de systèmes de drainage des lixiviats, et d’aménagement d’ouvrages de collecte et d’évacuation des eaux pluviales. Le premier réseau du système de collecte de biogaz a été posé à partir de 10 mètres de hauteur des déchets. Actuellement, une torchère fermée est placée en amont des conduites des lixiviats pour évacuer et brûler le biogaz qu’ils contiennent. En outre, la décharge comprend aussi une partie réservée à la conversion du biogaz émanant des déchets en énergie électrique propre qui servira pour l’éclairage public de la ville de Fès. L’énergie produite alimentera également la future station de traitement des lixiviats, dont la construction est annoncée pour bientôt et qui nécessitera pas moins de 8 millions de DH.

Wednesday, December 14, 2011

Himark signs $15-million biogas deal Edmonton-based firm will produce ethanol from manure in Kansas

Edmonton-based Himark BioGas, which designed and built its first bio-gas plant near Vegreville, has signed a deal worth $15 million with Western Plains Energy of Oakley, Kan.

The U.S. facility already produces ethanol from grain and corn. It will add Himark's patented Waste-to-Energy system to produce ethanol from manure from local feedlots, as well as food and human waste.

"This is our first licence, and the plant will be the largest on-farm biogas producer, representing 10 per cent of total U.S. production," said Evan Chrapko, the co-chief executive of Himark, formerly Highmark Renewables.

About half the $15 million is for a licence payment, with the rest for additional engineering and design that will be done by Himark to adapt the unit to the Kansas plant. The Himark digester at the Western Plains plant will initially have a capacity of 24 million litres per year.

Read more : http://www.edmontonjournal.com/business/Himark+signs+million+biogas+deal/5857583/story.html

Potawatomi biogas plant zoning gains early approval

Heat from a new biogas facility would be used to heat the Potawatomi Casino in Milwaukee's Menomonee Valley.
 
The Forest County Potawatomi Community’s planned new biogas facility near its Menomonee Valley casino gained unanimous approval from a city zoning committee on Tuesday.

The 2 megawatt plant would convert waste products from food production companies to gas and then burn the gas to produce electricity. Heat from the process will heat the casino, and the electricity from the plant will be sold to We Energies.
 

Friday, December 9, 2011

Portrait 2010 des matières résiduelles de l'agglomération montréalaise

MONTRÉAL, le 8 déc. 2011 /CNW Telbec/ - La Ville de Montréal rend public aujourd'hui le Portrait des matières résiduelles de l'agglomération montréalaise 2010. Le présent portrait regroupe les données de 2006 à 2010, autant pour les matières faisant l'objet de programmes de récupération que celles dirigées vers l'élimination. 

En moyenne, chaque Montréalais a généré 534 kg de matières résiduelles au cours de l'année 2010. Ceci correspond à une quantité totale de 1 008 552 tonnes de matières, dont 37 % ont été récupérées par le biais des différents programmes offerts par la Ville, ce qui représente une hausse de 13 % par rapport à 2006. 

Faits saillants du Portrait 2010
La hausse des matières récupérées est principalement due à la valorisation d'une quantité beaucoup plus importante de résidus de construction, rénovation et démolition résidentiels et des encombrants. Effectivement, les quantités valorisées sont en hausse de 87 % par rapport à 2006 et le taux de récupération est de 59 %. Ces résidus sont désormais envoyés dans un centre de récupération et de tri plutôt que directement à l'enfouissement. Il s'agit de l'un des principaux engagements pris par l'administration municipale dans le cadre de son Plan de gestion des matières résiduelles (www.ville.montreal.qc.ca/pdgmr). Les quantités de résidus domestiques dangereux collectées ont aussi augmenté depuis 2006; le taux de récupération est de 56 %. 

Bien que les quantités de matières recyclables collectées soient en hausse, le taux de récupération demeure stable, soit de 53 %. La distribution récente de quelque 250 000 bacs roulant pour le recyclage à travers la ville aura certes un impact positif sur le taux de récupération au cours des prochaines années. 

Par ailleurs, les quantités de matières organiques ramassées sont en hausse de 53 % par rapport à 2006. La Ville accentue ses efforts pour offrir la collecte des matières organiques à davantage de citoyens d'année en année, ce qui contribuera à augmenter le taux de récupération, qui était de 10 % en 2010.


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